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Que faire en cas de sinistre

Vous devez déclarer l'accident dans les cinq jours ouvrés.
La déclaration d'accident peut être faite :
-En ligne, sur le site Internet de la Fédération en remplissant le formulaire et en validant l'envoi qui sera automatiquement fait auprès       de GROUPAMA.
Attention : il est nécessaire d'envoyer par courrier le certificat médical descriptif des blessures.
-Ou en remplissant l’imprimé type disponible annexe 8, Déclaration de sinistre.
-Ou en indiquant sur papier libre le lieu précis, la date et les circonstances détaillées de cet accident, en mentionnant s’il est survenu à l’occasion  d’une programmation associative ou d’une randonnée personnelle.
Adressez exclusivement ce courrier (Lettre Recommandée non exigée) à :

      GROUPAMA PARIS VAL DE LOIRE
      Courtage 
      60, boulevard Duhamel du Monceau 45160 Olivet.

Joindre un certificat médical descriptif des blessures constatées, s’il s’agit d’un sinistre mettant en jeu la garantie des accidents corporels.
Indiquer l’identité et l’adresse de la victime (le tiers) et la nature des dommages corporels ou des dégâts matériels causés s’il s’agit d’un sinistre de responsabilité civile.
TOUTE DÉCLARATION D’ACCIDENT DOIT :
-Soit mentionner le numéro de la licence ou de la carte et sa catégorie, ainsi que le nom du club et son numéro d’affiliation.

-Soit être accompagnée d’une photocopie de la licence ou de la carte. En cas de perte ou de vol de la licence, l’affiliation d’un licencié, victime d’un sinistre, peut également être prouvée par la production d’une attestation de licence téléchargeable sur le site www.ffrandonnee.fr, d’une copie des bordereaux ou des livres comptables de l’association.
La garantie des accidents corporels n’est acquise que pour les licences IRA/FRA et IMPN/FMPN, pour les Randocartes et les Randocartes Découverte.
Attention :
-Ne plus saisir directement le Service Assurances de la Fédération.
-Ne joindre à la déclaration aucun document nécessaire au règlement ultérieur du dossier (devis, note de frais, feuille de soins, facture, etc…).
-Attendre, pour ce faire, d’avoir reçu un accusé de réception qui indiquera comment se déroulera le règlement du dossier.
 

Pour une randonnée à la journée

Les incontournables

Ses médicaments personnels dont on peut avoir besoin dans la journée.
Une couverture de survie protégeant du froid et du vent, sera surtout utile en cas d’accident avec immobilisation, car un organisme blessé ou malade se refroidit très vite.
Un sifflet pour appeler, dont le son porte beaucoup plus loin que la voix souvent un peu cassée du blessé seul et angoissé.

Médicaments
Les indispensables


Une petite boîte de pansements prédécoupés de différentes tailles.
Une boîte de "double peau" pour prévenir l’ampoule dès les premiers signes ou pour la mettre à l'abri et lui éviter de faire souffrir.
4 à 5 compresses stériles en emballage individuel.
2 à 3 petites compresses stériles toujours en emballage individuel, imbibées d’un produit désinfectant Bétadine si possible.
Un rouleau adhésif de 2 cm de large.
Une bande de contention de 5 cm de large.
Des pastilles désinfectantes, en emballage individuel, pour l’eau que l’on est amené à trouver en route et qui peut être souillée. Attention il faut la laisser agir une heure avant de pouvoir boire.


À ne jamais emporter
Un médicament conditionné sous forme de tablettes effervescentes.

Plaquette

Les utiles
Une paire de lacets de rechange,
Deux épingles de sûreté.
Quelques tablettes énergétiques à base de glucose.
Des antalgiques, crèmes, collyre, pommade anti-inflammatoire, le tout en emballage individuel et en petite quantité, que l’on a déjà utilisé par le passé et que l’on n’est pas autorisé à distribuer à ses compagnons.
Les médicaments prescrits, par le médecin, pour une raison bien spécifique, allergie, asthme, autre affection particulière.

Les plus
Ils sont parfois bienvenus et dépourvus de danger :
Arnica en dose, pour atténuer les effets d’un traumatisme ; quelques tablettes à croquer de vitamine C 300 ou 500 mg ; ce qui vous paraît utile et qui n’est pas dans cette liste.
Une règle essentielle doit être respectée : on ne donne jamais aucun médicament que l’on a, pour rendre service, sans avis médical ; certaines personnes peuvent développer des réactions néfastes à la prise de médicaments tel que l’aspirine. Vous prendriez une responsabilité médicale et en subirez les conséquences en cas de soucis.
 

La trousse de secours individuelle

premiers secours

On néglige souvent cette petite pochette, parfois on l’oublie, plus souvent, après l’avoir garnie un jour, on ne la vérifie plus jamais. Le docteur Pierre Josué, médecin fédéral, nous rappelle que la trousse de secours individuelle n’est pas un gadget. Il nous réapprend son contenu et son usage.

Source : F.F.R
Même pour une petite randonnée à la journée, il est indispensable que chacun, dans son sac possède bien à l’abri une petite trousse de secours, au même titre que ses vêtements de rechange, son encas ou sa gourde d’eau…
Cet équipement supplémentaire lui permettra de résoudre bien des problèmes qui peuvent survenir au cours d’une randonnée et surtout de poursuivre son chemin.

Il n’est pas question d’emporter toute sa pharmacie ni de prévoir le traitement d’une fracture, d’une entorse, de troubles digestifs ni même d’emporter du sirop pour la toux.
Pour palier aux situations sérieuses nous avons la chance de randonner dans un pays où les secours sont très bien rodés et, pour peu que l’on soit en groupe, l’animateur ou les amis prendront les mesures qui s’imposent.

Non, il faut emporter avec soi de quoi soigner les incidents les plus fréquents : petites plaies et coupures, ampoules aux pieds, brûlures, petites chutes sans gravité mais entraînant douleur et un certain degré d’impotence, malaises, fatigue, piqûre d’insecte…
Elle doit respecter tout d’abord un impératif de poids ; une trousse individuelle bien faite ne doit pas dépasser 200 g ; comment y arriver en y mettant le maximum de choses ?
On trouve dans le commerce d’excellentes trousses, bien composées, portant la fameuse croix pour la distinguer du reste de l’équipement ; ces trousses ont l’avantage d’exister mais des inconvénients : coût, poids non négligeable, et les articles sont si bien rangés que l’on se refuse à tout déballer de peur de ne pas pouvoir tout remettre à sa place.

On peut utiliser une boîte en plastique légère, pas trop volumineuse, hermétique.
En fait, que lui demande-t-on à cet emballage ? D’être le plus léger possible, solide, si possible imperméable en cas de pluie… On trouve dans le commerce des pochettes en matière synthétique qui répondent à ces critères : on peut utiliser aussi les sacs de congélation de 1 litre environ qui possèdent un système de fermeture par Zip. Et qui sont peu onéreux.